C'est l'un des feuilletons qui avaient agité le mercato estival en 2020, et il pourrait faire de même cet été. Pisté par de nombreux cadors européens, notamment en Premier League, c'est bien le Real Madrid qui semble tenir la corde dans ce dossier.
Manchester United, Arsenal, le Real Madrid, le Paris-Saint Germain, tous ces clubs ont un point commun : ils souhaitent tous recruter Eduardo Camavinga. Révélé aux yeux de la planète football lors de la saison 2019/2020, le natif de Miconje, en Angola, n'est plus qu'à un an de la fin de son contrat avec le Stade Rennais. Si les rumeurs d'un transfert ont agité la presse l'été dernier, il se pourrait bien qu'il en soit de même lors de ce mercato. Désireux de franchir un pallier que le Stade Rennais ne peut pas lui offrir, le jeune milieu de terrain aurait vu ses envies d'ailleurs prendre de l'ampleur ces dernières semaines. Deux solutions s'offrent alors aux pensionnaires du Roazhon Park : prolonger le jouer sous peine de le voir partir gratuitement l'année prochaine, ou bien le vendre cet été.
Et pour Camavinga, l'objectif est clair : prendre son envol pour rejoindre une nouvelle écurie dès la saison prochaine. D'après le 10 sport, le joueur serait prêt à aller au clash avec son club pour obtenir un bon de sortie, dans le cas où celui-ci ne lui serait pas accordé. Quant à la position du club breton, elle reste pour le moment assez floue. Florian Maurice, directeur sportif a déclaré : "Il y a des discussions qui existent entre les clubs, avec le joueur également. On n’a toujours pas trouvé de solution". D'après The Telegraph, l'Espagne et le Real Madrid semblent être son choix numéro un, puisque Manchester United aurait perdu espoir de faire venir l'international français (3 sélections) au sein de son effectif. Une chose est sûre : on n'a pas fini d'entendre parler de cette affaire.
Partira, partira pas ? L'avenir d'Eduardo Camavinga semble être imprévisible. Après une saison en demi-teinte, le joueur de 18 ans garde malgré tout une sacré cote auprès de nombreux clubs. Mais la crise du Covid ayant impacté les finances de toutes les écuries du football européen, les négociations pourraient bien être plus que difficiles.