Ce jeudi, le Stade Rennais reçoit les Grecs du Panathinaïkos pour le compte de la 4è journée de la phase de poules. Le groupe F est d’ailleurs quelque peu chamboulé par un match de retard, avec la réception du Maccabi Haïfa par les joueurs de Villarreal, une rencontre reportée pour des raisons évidentes au 6 décembre. Rennes peut cependant créer un écart avec son opposant de ce jeudi, puisque les Rennais comptent deux points d’avance sur les Grecs après que les Bretons s'étaient imposés chez ces mêmes adversaires. La confiance règne dans l’équipe rennaise, d’après certaines paroles exprimées lors de la conférence de presse du jour.
Après la défaite des Rennais lors du match de clôture de la 11è journée de Ligue 1 face au leader Nice, place à l’Europa League. Les actuels 11è du championnat français cherchent des ressources en C3, compétition dans laquelle ils font bonne impression et semblent décomplexés. Les mots de leur entraîneur Bruno Génésio vont en ce sens, lui qui ne cède pas à la panique malgré leur saison en demi-teinte.
« Je suis paradoxalement plutôt serein »
Le coach rennais a confiance en ses joueurs, et compte bien répondre aux performances insuffisantes en Ligue 1 (2 victoires seulement) par le biais de la coupe d’Europe. En cette compétition, les joueurs subissent étonnamment moins la pression selon Génésio. Ce dernier estime que son équipe est assez jeune, et l’attente de résultats de la Ligue 1 les bride alors que la C3 semble mieux leur réussir en termes d’audace et de créativité dans le camp adverse. La pression doit être chassée, et une victoire des rennais ce jeudi pourrait servir à les relancer en championnat. Génésio appelle à la confiance, avec des mots pleins de sérénité pour ses joueurs : « je suis lucide, mais je n’ai pas de pression. De quoi unir tout un groupe et essayer de se mettre sur la meilleure voie possible pour aller chercher la qualification en Europa League.