À l’approche du match contre Arsenal, la tension monte du côté de Lens. Face à une équipe de Gunners plus que favorite, certains rêvent de voir l’exploit de 1998 se reproduire.
Il y a 25 ans, les Sang et Or de Daniel Leclercq réalisaient l’exploit de battre la formation anglaise dirigée par Arsène Wenger. Vingt ans plus tard, pour le retour de Lens au sein de la reine des coupes d’Europe, beaucoup croient qu’une nouvelle victoire est possible.
Sur le papier, pourtant, rien ne semble aller en faveur des Français : que cela soit d’un point de vue sportif, ou de l’effectif, les Gunners ont tout pour remporter ce mardi une victoire écrasante contre leurs adversaires du jour. C’est d’ailleurs ce qu’ils ont fait lors de la première journée.
Un rouleau compresseur
Contre le PSV Eindhoven, lui aussi de retour après avoir manqué l’édition précédente, les rouges et blancs n’ont d’ailleurs pas fait dans la dentelle. Trois buts en première mi-temps dont le premier est signé par l’un des piliers de l’équipe Bukayo Saka.
Score final 4-0 pour une équipe qui semble capable d’aller côtoyer les sommets alors qu'elle a pourtant perdu le championnat d’Angleterre sur le fil la saison passée. Alors verra-t-on Arsenal remporter la Ligue des Champions ? Trop tôt pour le dire, ce qui est sûr, c’est que l’équipe est une épine mortelle qui se présente désormais face à Lens.
Une première mauvaise nouvelle
Bukayo Saka évoqué plus haut, aurait pu ne pas jouer la rencontre. Bien que présent lors de la première journée, celui-ci a manqué la Coupe de la Ligue ce mercredi face à Brentford. En cause, une blessure qui l’a éloigné des terrains, sauf que celui-ci s’en est remis. Et malheureusement pour les Nordistes, il devrait bien être présent à Bollaert demain pour tenter d’aller glaner trois points supplémentaires.
Une statistique, néanmoins, pourrait peut-être venir rassurer les supporters Sang et Or : Lens n’a plus perdu à domicile face à Arsenal (en Ligue des Champions NDR) depuis 1998, soit 2 matchs : un nul et une victoire. Et ne dit-on pas après tout, jamais deux sans trois ?