Les derniers mois ont été marqués par une série de décisions arbitrales controversées défavorables à l'Olympique de Marseille, suscitant de vives polémiques. Le compte Twitter X Massalia Zone a révélé des informations explosives : l'un des opérateurs VAR chargés de sélectionner les images litigieuses pour les arbitres serait un "supporter du PSG" qui aurait officié lors de plusieurs matchs de l'OM entachés de décisions discutables.

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Un arbitre partial au cœur du système VAR
Selon les preuves apportées par X Massalia Zone, cet opérateur VAR pro-parisien était présent lors des rencontres OM-PSG (défaite 0-3), face à Lyon (2-3 et 3-2) où des penalties litigieux ont été accordés, ainsi que contre Lille (1-1) avec des fautes non sifflées sur Hojbjerg et Rowe. Lors du récent match contre Saint-Etienne (5-1), le but validé de Balerdi a été injustement refusé malgré l'absence de faute évidente. Cet arbitre n'hésiterait pas à afficher publiquement son soutien au PSG, se vantant d'être un grand supporter du PSG.
L'OM réclame des explications sans succès
Face à ces révélations accablantes, les dirigeants marseillais avaient récemment demandé des informations sur les opérateurs VAR lors d'un conseil d'administration de la Ligue. Selon Mohamed Toubache-Ter, "étrangement, Marseille n'a pas eu de réponse" à cette requête légitime. Cette affaire soulève de sérieux doutes quant à l'impartialité de l'arbitrage vidéo, censé garantir l'équité sportive. Une enquête approfondie semble indispensable pour faire toute la lumière sur ce scandale et rétablir la confiance dans l'institution arbitrale.
Un avenir incertain pour l'arbitrage marseillais
Alors que les prochains mois seront scrutés de près, l'OM espère une nette amélioration des décisions arbitrales après ces révélations fracassantes. Cependant, la présence supposée d'un opérateur VAR aussi partial au sein même du système laisse planer un lourd soupçon d'irrégularités. La crédibilité de l'arbitrage vidéo est désormais remise en cause, appelant à des réformes urgentes pour garantir l'intégrité de la compétition.