En quête de trouver une nouvelle pépite au poste de latéral gauche, le Paris Saint Germain s’active sur le dossier. Un titulaire du Stade Rennais serait sur la shortlist du club de la Capitale.
Le poste d’arrière gauche cette saison était voué à Nuno Mendes. Malheureusement trop souvent blessé, il était le seul à être latéral gauche de métier. Au cours de la saison, Lucas Hernandez et Lucas Beraldo ont dépanné à ce poste pour compléter l’effectif. Mais pour un club de ce calibre, un joueur seul au poste n’est pas possible. Les dirigeants parisiens se tournent alors vers un nouveau dossier, Adrien Truffert le Rennais. Hier, c’est Get French Football News qui assure que le numéro 3 Breton est sur les tablettes en vue de rejoindre le PSG. Formé au club, Truffert porte le maillot Rouge et Noir depuis 2018. Cette saison, il aura participé à 43 matchs toutes compétitions confondues pour un total de deux buts et 7 passes décisives. Mais pour faire aboutir le deal, il faudra se montrer très persuasif envers le clan breton qui est dur en affaires concernant son joueur.
L’OM aussi sur le dossier
Au vu de la qualité technique d’Adrien Truffert, le PSG voit son éternel rival marseillais se greffer sur le dossier, bien que l’OM avait déjà tenté de le faire venir lors du dernier mercato hivernal. Le SRFC possède bien des réticences à l’idée de se séparer de son joueur. “Le débat a très vite été clos par la position du club. C’est tout ce que je peux vous dire aujourd’hui. Aujourd’hui je suis à Rennes, il me reste encore plus de 2 ans de contrat”, avait déclaré à RMC le natif de Liège. Mais le projet parisien pourrait bien l’attirer, d’autant plus que c’est Luis Campos lui-même qui serait admiratif du profil de jeu du latéral. Mais le PSG joue la Ligue des Champions la saison prochaine, tandis que ni l’OM, ni Rennes ne jouent une Coupe d’Europe. De quoi faire pencher la balance.
Rennes demande beaucoup d’argent pour s’attacher les services de Truffert. Selon le site Transfermarkt, la latéral est estimé aux alentours de 18 millions d’euros. En dessous de vingt grand minimum, impossible de le voir quitter la Bretagne, c’est certain.