Depuis le début de l’été, ce ne sont pas moins de huit recrues que l’OM est parvenu à faire signer. Habitués aux débuts de mercatos pléthoriques, emballants, les Olympiens semblent enfin réussir le pari de densifier leur effectif en adéquation avec les principes de jeu de leur nouvel entraîneur. Jusqu’alors, seul le très controversé Mason Greenwood a été recruté pour renforcer l’attaque des Marseillais. En cette première partie du mois d’août, un nouvel attaquant semble être au cœur d’une accélération notable quant à une signature imminente.
L’OM y est désormais habitué : à tous les postes, des recrues sont attendues avant le retour aux affaires en Ligue 1 notamment. Comme à l’accoutumée, les héros de la saison passée sont sur le départ ou sont déjà partis, et se doivent d’être tous remplacés, assortis d’une nouvelle stratégie, et d’une nouvelle philosophie. Depuis le départ d’Aubameyang couvant depuis des semaines, le club semble s’être fixé sur deux options offensives d’avenir. L’une d’entre elle apparaît trop complexe pour les Marseillais, décidés à conclure un dossier faisant l’actualité depuis le mois de juillet.
Exit Wahi, Nketiah relancé
Très récemment, Elye Wahi semblait être le nouvel élu pour occuper la pointe de l’attaque marseillaise en vue de la saison 2024-2025. Le Lensois, ancien de Montpellier, sort en effet d’une saison en demi-teinte, mais dispose encore d’une grande cote assortie d’une marge de progression encore certaine. Selon Fabrice Hawkins, alors que le RC Lens se veut gourmand au regard de ces données, l’OM ne compte pas faire grimper les enchères. En conséquence, aucune nouvelle offre ne serait déployée à ce stade des négociations.
Autre conséquence notable quant à ce refus, le dossier Nketiah aurait de nouveau le vent en poupe. L’Anglais dont l’envie de rejoindre l’OM ne fait plus de doute depuis déjà plusieurs semaines aurait à nouveau les faveurs du club. Arsenal de son côté, également très demandeur autour du départ de son jeune joueur, aurait été convaincu par les Marseillais de revoir leurs prétentions à la baisse. A ce stade, la signature n’est pas encore une certitude, mais elle semble bien mieux embarquée que ce qu’elle n’était lors des premières prises de contact.