L'arrivée d'Eirik Horneland sur le banc de l'AS Saint-Étienne semble imminente. Après une brillante carrière en Norvège, le technicien de 49 ans est sur le point de relever un nouveau défi en rejoignant le club stéphanois. Cependant, les dernières discussions portent sur la composition de son staff, un élément crucial pour assurer une transition réussie.
Une carrière couronnée de succès en Norvège
Après avoir mené le SK Brann à la promotion en élite norvégienne, Eirik Horneland a remporté deux titres de vice-champion et une Coupe de Norvège, la septième de l'histoire du SK Brann. Cette expérience fructueuse a suscité l'intérêt de plusieurs clubs prestigieux, tels que le RB Salzbourg et Saint-Louis City en MLS. Cependant, Horneland semble avoir donné la priorité à l'offre de l'ASSE, bien qu'une proposition d'un club tchèque reste sur la table.
La composition du staff, un enjeu clé
Avec un salaire mensuel brut de 16 800€ perçu au SK Brann, la question financière ne semble pas être un obstacle majeur. En revanche, Eirik Horneland souhaite ardemment s'entourer de son adjoint Hassan el-Fakiri. Cette volonté s'explique par les liens tissés au cours des deux dernières saisons, mais aussi par l'avantage linguistique d'el-Fakiri, qui parle français et connaît la Ligue 1.
Un défi de taille pour Horneland
En quittant la Norvège, où il a évolué en tant que joueur et entraîneur, Eirik Horneland franchit une étape décisive dans sa carrière. Conscient des enjeux, il souhaite s'entourer des meilleures conditions pour mener à bien sa mission à l'ASSE. Cela implique de trouver un accord avec le SK Brann, puisque Hassan el-Fakiri est toujours sous contrat avec le club norvégien. Un obstacle à surmonter rapidement pour permettre à Horneland d'entamer son mandat dans les meilleures dispositions.