L’ASSE est le dernier club à avoir validé son ticket pour la Ligue 1 la saison prochaine. Désormais, la mission des Verts va être de composer un effectif capable de se maintenir, en commençant pas garder ses meilleurs éléments. Parmi eux Aïmen Moueffek, en fin de contrat au 30 juin det qui n’a toujours pas pris de décisions quant à son avenir.
Il y a 5 jours, les supporters de l’AS Saint Etienne ont célébré le premier but de la saison d’Ibrahima Wadji synonyme de remontée en Ligue 1. L’attaquant sénégalais a délivré le peuple vert à la 116ème minute de jeu du barrage retour disputé face au FC Metz, au stade Saint-Symphorien. Et comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, le club a officialisé son rachat par le groupe d’investisseurs canadiens Kilmer Sports Ventures dès le lendemain avec un objectif affiché de se qualifier en coupe d’Europe d'ici 5 ans. Ce projet a de quoi faire fantasmer tous les fans du club, et va commencer par l’obtention de son maintien dans l’élite l’an prochain. Ainsi, la priorité de Ivan Gazidis, nouveau patron des Verts sera de bâtir un effectif pour aller sécuriser sa place en première division le plus tôt possible, et pourquoi pas s’inspirer du RC Lens qui a toujours fini dans le top 8 depuis sa remontée en 2020.
Mouffek pourrait ne pas rester cet été
La priorité de l’ancien dirigeant d’Arsenal sera d’abord de conserver les éléments qui ont permis au club du Forez de retrouver la Ligue 1. Et l’un des dossiers les plus chauds du moment est celui du milieu de terrain Aïmen Moueffek (4 buts en 34 matchs), en fin de contrat au terme de cette saison. Décisif dans la rencontre retour face aux Messins en déviant le ballon de la tête sur le corner qui amène le but de Léo Pétrot (2-1, 35ème minute), l’international espoir marocain souhaite rester à Saint-Etienne, mais attend une meilleure offre que celles que le club lui a déjà soumis. Du coup, ses représentants ont pris des renseignements auprès d’autres formations qui pourraient être intéressées, et c’est un autre promu Angers qui pourrait rafler la mise. Les dirigeants stéphanois sont prévenus et savent qu’ils vont devoir se montrer convaincants pour retenir leur meneur de jeu de 23 ans.