Cet été, l’AS Saint-Étienne n’a pas vécu le mercato de la meilleure des manières jusqu’alors. Les ventes espérées n’ont pas encore toutes abouties, les arrivées ne sont pas encore toutes bouclées, alors que cette situation empêche Laurent Batlles de construire un effectif durable, et stable semaine après semaine. Aujourd’hui, une nouvelle cible des Verts semble encore échapper à l’équipe.
Dans le sens des départs comme dans le sens des arrivées, chaque opération apparaît des plus complexes pour l’AS Saint-Étienne. Adil Aouchiche attend toujours de connaître son avenir proche, alors que le secteur offensif, qui n’attend qu’à être renforcé, stagne toujours avec les mêmes acteurs après déjà trois journées de reprise du championnat. En quête de piocher du côté de l’ESTAC étant donné le passif du coach des Verts, la formation stéphanoise semble se heurter à une nouvelle mésaventure.
Les mauvaises nouvelles ne viennent pas seules
À la recherche de plusieurs profils, l’ASSE a coché l’ESTAC comme un réservoir potentiel de talents. Après avoir réussi à attirer Jimmy Giraudon dans ses filets, Laurent Batlles espérait visiblement enrôler d’autres de ses anciens joueurs. Ainsi, Yoann Touzghar était notamment pisté sur le front de l’attaque, mais un désaccord a annulé cette transaction attendue, pourtant en bonne voie la semaine passée. Selon les informations fournies par Sainté Inside, il semblerait que cet échec ne soit pas sans répercutions.
En effet, Florian Tardieu faisait partie des nouvelles cibles stéphanoises en cette fin du mois d’août. L’ouverture pour signer le milieu défensif de 30 ans semblait bien réelle, mais les événements constatés avec Touzghar ont refroidi les négociations. Alors qu’il évolue dans le même club, le joueur est également accompagné du même agent que l’attaquant troyen de 35 ans.
L’échec dans le dossier Touzghar aurait ainsi précipité l’échec dans celui menant à Tardieu. Encore très en difficulté pour attirer des profils, l’ASSE poursuit avec dépit sa phase de doutes quant à son effectif définitif.