A midi, les tirages de la Ligue des champions ont donné leur verdict. Des tirages surprenants qui n'offrent pas forcément les meilleures affiches. Pourtant, cela offre une finale qui sera déjà surprenante.
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A midi, les tirages de la Ligue des champions ont donné leur verdict. Des tirages surprenants qui n'offrent pas forcément les meilleures affiches. Pourtant, cela offre une finale qui sera déjà surprenante.
Les tirages ont été définitifs et on connait désormais les affiches potentielles jusqu'en finale. Avec deux côtés de tableau diamétralement opposés, la finale sera quoiqu'il arrive inédite par rapport aux dernières années. Les trois clubs italiens sont du même côté du tableau et le risque d'en apercevoir un en finale est grand, une première depuis la Juventus. L'Inter affrontera Benfica et un duel 100% italien entre Napoli-Inter. De l'autre côté, les gros se retrouvent puisque le Real et Chelsea se retrouvent encore et City-Bayern sonne comme la finale avant l'heure.
Certains clubs peuvent avoir des regrets, on pense surtout au Paris Saint Germain qui aurait pu finir premier de son groupe et ainsi avoir un accès facile vers la finale en affrontant Bruges, l'Inter et puis Naples ou Milan. C'est également le cas pour d'autre club comme l'Atlético Madrid et Barcelone. Une absence des gros caractérisé par une finale qui sera quoiqu'il arrive surprenante avec un des Italiens ou un club portugais face à un cador.
Des grandes affiches
Manchester city- Bayern Munich sonne comme la véritable finale avant l'heure entre deux favoris qui ne s'affrontent pourtant que très rarement. Le vainqueur du Real Madrid affrontera un Chelsea faible en championnat mais qui a montré des bases solides en Ligue des champions en étant la seule équipe à renverser un score par rapport au match aller. De l'autre côté, Naples Milan sonne moins clinquant, comme d'habitude quand deux clubs d'un même pays s'affrontent, mais opposera tout de même le vainqueur de la dernière série A face à celui qui pourrait bien le remplacer. L'Inter hérite lui d'un club très sous-estimé, le Benfica. Une affiche de club historique pourtant peu habitué à rayonner ses dernières années.On y surveillera un Joao Mario parti en mauvais terme du club italien et maintenant homme fort des Lisboette.