Francis Coquelin, le milieu de terrain expérimenté arrivé au FC Nantes en janvier, n'a pas encore pu enchaîner les matchs comme il le souhaiterait en raison de pépins musculaires. Cependant, malgré cette contrariété, le joueur de 33 ans reste impliqué et déterminé à apporter sa contribution. « Ce ne sont pas des blessures graves, mais quand on n'a pas joué depuis longtemps, il faut être intelligent. Il ne faut pas forcer, au risque de se blesser pour de bon. J'ai de l'expérience, je connais mon corps. [...] Même sans jouer, je veux être utile. C'est dans ma nature d'encourager, de transmettre, de parler aux plus jeunes. »
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Francis Coquelin, le milieu de terrain expérimenté arrivé au FC Nantes en janvier, n'a pas encore pu enchaîner les matchs comme il le souhaiterait en raison de pépins musculaires. Cependant, malgré cette contrariété, le joueur de 33 ans reste impliqué et déterminé à apporter sa contribution. « Ce ne sont pas des blessures graves, mais quand on n'a pas joué depuis longtemps, il faut être intelligent. Il ne faut pas forcer, au risque de se blesser pour de bon. J'ai de l'expérience, je connais mon corps. [...] Même sans jouer, je veux être utile. C'est dans ma nature d'encourager, de transmettre, de parler aux plus jeunes. »
Un choix motivé par le défi et la proximité familiale
L'ancien d'Arsenal et de Villarreal affirme n'avoir jamais douté de son choix de rejoindre les Canaris. « Non, je n'ai jamais douté. J'avais faim de retrouver un groupe. Le coach m'a parlé franchement, il m'a transmis sa vision. Il y a ici une équipe compétitive, des joueurs de qualité. » Son retour en Ligue 1, un championnat qu'il n'a pas beaucoup connu, était également motivé par la proximité avec sa famille. « Revenir en Ligue 1, dans un championnat que je n'ai pas beaucoup connu, c'était une opportunité. Et puis je voulais me challenger. Je savais que la situation n'était pas simple ici, mais j'aime ça. »
Une mission cruciale : remobiliser le groupe
Conscient du contexte sportif tendu à Nantes, Coquelin veut tirer le groupe vers le haut et retrouver des résultats positifs. « On a besoin de points, il faut le dire clairement. Mais on a montré de belles choses. Le match contre Lens en est la preuve. » Il considère la lourde défaite à Monaco comme un tournant décisif. « Quand tu prends une claque pareille, tu réagis. Après ce match, on s'est parlé entre nous. On s'est dit que ce n'était plus possible. Il fallait montrer autre chose. » Malgré la défaite contre Marseille, il a vu des motifs d'espoir encourageants. « Il y avait de la frustration, parce qu'on a montré un bon visage. Si on marque en premier, le match peut tourner différemment. Ce sont des détails, mais ces détails-là, il faut les corriger. »
Le mental, clé de la réussite
Pour Francis Coquelin, le mental est aussi important que la technique pour sortir de cette situation délicate. « Quand on est dans ce genre de situation, il faut faire plus. Chaque jour. Le travail, c'est ce qui nous sortira de là. » Il sait que la série de nuls et de courtes défaites peut basculer à tout moment. « Parfois, ça ne se joue à rien. À nous d'avoir ce supplément d'âme pour faire pencher les matchs en notre faveur. » Très attaché à l'ambiance de la Beaujoire, le joueur passé par la Premier League veut aussi embarquer les supporters dans cette remobilisation. « Nos supporters sont exigeants, et c'est normal. C'est à nous de leur montrer qu'on est dignes de porter ce maillot. Il faut qu'ils sentent notre fierté. »
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