Dans un contexte de tensions autour des groupes de supporters ultras, le Ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau semblait initialement déterminé à dissoudre certaines associations, dont la Brigade Loire du FC Nantes. Cependant, selon des propos rapportés par le quotidien Ouest-France, le Ministre semble désormais adopter une position plus nuancée concernant les Ultras nantais.
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Une dissolution conditionnelle
Plutôt que d'annoncer une dissolution immédiate, Bruno Retailleau appelle à "une prise de conscience" des supporters du FC Nantes. Il insiste sur "la baisse des tensions et de la violence" comme condition préalable pour éviter la dissolution de la Brigade Loire. Le Ministre compte sur "la mobilisation de tous, notamment du club" pour restaurer l'ordre public et permettre d'assister aux matchs "tranquillement en famille".
Une menace toujours présente
Cependant, Retailleau n'écarte pas complètement l'option de la dissolution. Il précise que "si les actions mises en place ne suffisaient pas, la dissolution reste un instrument". Cette déclaration maintient une pression sur les Ultras nantais et le club pour prendre des mesures concrètes afin d'apaiser les tensions liées aux supporters.
Un appel au dialogue
Au-delà de la menace, les propos du Ministre semblent aussi ouvrir la voie au dialogue. En impliquant le club dans la recherche de solutions, Retailleau reconnaît la nécessité d'une approche concertée plutôt que d'une décision unilatérale. Cette ouverture pourrait permettre de trouver des solutions durables pour préserver l'ambiance des stades tout en garantissant la sécurité de tous.
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