L'arrivée de Roberto De Zerbi à la tête de l'Olympique de Marseille a insufflé un vent de fraîcheur et d'engagement sans précédent au sein du club phocéen. Avec sa fougue caractéristique, le technicien italien a clairement exprimé son dévouement total envers le projet marseillais, captivant les supporters avec ses déclarations enflammées. "Je suis venu ici pour tout donner, pour me battre sur chaque ballon avec les joueurs", a-t-il affirmé avec passion, illustrant parfaitement son approche combative et son implication sans faille.
Une philosophie de jeu audacieuse et séduisante
Au-delà de son engagement émotionnel, De Zerbi a également séduit par sa vision tactique offensive et son désir de proposer un football attrayant. "Je veux une équipe qui prend des risques, qui joue vers l'avant", a-t-il déclaré, promettant un spectacle captivant pour les supporters marseillais. Cette philosophie audacieuse, combinée à son énergie contagieuse, laissait présager des matchs palpitants et un style de jeu séduisant à l'Orange Vélodrome.
Un défi de taille pour redorer le blason marseillais
Cependant, De Zerbi est bien conscient des défis colossaux qui l'attendent à Marseille après ce début de saison en demi-teinte. Avec l'ambition de redorer le blason du club légendaire, il devra composer avec les attentes élevées des supporters et la pression inhérente à un tel projet. Néanmoins, son engagement sans faille et sa détermination inébranlable laissent présager une saison palpitante, où chaque match sera une bataille acharnée pour la gloire de l'OM. "Je suis venu ici pour gagner, pour tout donner à chaque instant", a-t-il martelé, illustrant parfaitement son état d'esprit conquérant.
Pas de démission pour De Zerbi
Si après la défaite déconcertante au Vélodrome face à l'AJ Auxerre le technicien italien avait laissé entendre un potentiel départ prématuré de la cité phocéenne, il n'en est rien. En conférence de presse avant le choc face au RC Lens, Roberto De Zerbi a avoué "Moi, mais les joueurs et le club de manière générale, n'acceptons pas le match contre Auxerre. Sur le terrain, ce n'était pas suffisant. Je n'ai pas employé de mots forts. J'ai juste assumé mes responsabilités. Si vous croyez que je vais démissionner, que c'est mon idée, je tiens vraiment à souligner que je ne fuis pas. Je reste ici, je n'ai pas fui du Shakhtar, même quand Poutine a lancé des bombardements à Kiev. Je crois en cet OM, aux joueurs que j'entraîne. Je ne vais nulle part ailleurs".